Le jeûne intermittent fait référence à une privation volontaire de nourriture dans le but d’améliorer sa santé. Cependant, cette pratique n’est pas à la portée de tous et exige certaines restrictions quand bien même vous pouvez l’adopter.
Les avantages du jeûne intermittent pour l’organisme
Plusieurs raisons peuvent inciter à observer un Jeûne intermittent. En effet, il est possible de pratiquer un jeûne intermittent dans le but de perdre du poids ou de paraître plus jeune. D’ailleurs, la plupart de ceux qui décident de jeûner sont généralement confrontés à des soucis de surconsommation, notamment l’obésité et le diabète. Ainsi, recourir à ce type de jeûne permet de perdre efficacement du poids et d’optimiser le fonctionnement de son corps.
Par ailleurs, le jeûne intermittent permet à vos cellules de développer leurs capacités à brûler la graisse plus rapidement et à produire assez d’énergie. De plus, cette pratique représente une bonne manière d’éliminer les toxines dans l’organisme et de rendre celui-ci moins sensible au stress.
Cependant, tout le monde ne peut pas pratiquer un jeûne intermittent.
Les conditions favorables au jeûne intermittent
Il ne suffit pas de sauter chaque jour le petit déjeuner pour dire qu’on pratique un jeûne intermittent. Bien que les régimes soient variés d’une personne à une autre, un véritable jeûne intermittent s’observe pour une durée minimale de 16h. De fait, certains organismes ne sont clairement pas prédisposés à fonctionner normalement avec une telle privation.
Le jeûne intermittent peut être suivi par une personne obèse ou diabétique, un sportif ou un individu atteint du cancer. En revanche, si votre IMC est inférieur à 15, un jeûne intermittent ne vous conviendra pas. De même, les femmes enceintes ou allaitantes doivent absolument éviter de suivre un jeûne intermittent.
Vous pourrez bénéficier des bienfaits d’un jeûne intermittent si votre organisme est adapté et si vous le suivez rigoureusement.