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En France, le début du Ramadan aura lieu le samedi 2 avril 2022. La Grande Mosquée de Paris a confirmé la date de début du mois de jeûne musulman du Ramadan lors d’une nuit de doutes.

Le ramadan, la période de jeûne suivie par les musulmans, est l’un des cinq piliers de l’islam. Il correspond au 9ème mois du calendrier musulman. Ce dernier est de onze jours plus court que le calendrier grégorien, ce qui explique que ce mois de Ramadan varie d’une année sur l’autre.

Le calendrier Hijri est basé sur le cycle lunaire, et les observations du ciel pendant la nuit annuelle du doute déterminent la date exacte à laquelle commence le mois sacré. A l’approche du Ramadan, la deuxième Nuit du Doute fixera une date de fin, marquée par une célébration : l’Aïd al-Fitr. Tout au long du Ramadan, les musulmans jeûnent pendant la journée jusqu’à l’heure du Ftour.

Vous pouvez en savoir + sur le site direct-actualite sur le début du Ramadan et les évènements à venir pendant et juste après la fin du Ramadan 2022

Tout d’abord, dans le domaine de la chimie, l’échangeur thermique possède plusieurs applications. Il est utile dans la chimie verte et biotechnologie. De même que dans la chimie fine et pharmaceutique. Mais aussi dans la pétrochimie et finalement dans la chimie minérale et organique.

Utilité d’un échangeur en chimie verte et en biotechnologie

Le rôle de l’échangeur chimie dans la biotechnologie et la chimie verte est très important. En effet, on en a besoin pour les différentes opérations qu’on réalise. Comme les opérations d’évaporation, les opérations de chauffage, les opérations de refroidissement ou les opérations de condensation. De même que les opérations unitaires de réchauffage.

On appelle également chimie verte par chimie durable. Elle utilise des matières premières qui sont d’origine végétale qu’on nomme aussi biomasse ligno-cellulosique. Elle utilise aussi des matières premières d’origine animale et les différents résidus en alternative aux sources fossiles. Ce qui permet ainsi la réduction notable de leur empreinte carbone. Leurs utilisations sont dans la production des molécules de base entrant dans la fabrication de produits finis biosourcés. Dont les résines, les peintures, les emballages, les plastiques ou même les biocarburants.

Autres voies de valorisation utilisables dans une bio-raffinerie.

D’abord, la voie biochimique comprend le prétraitement suivi de l’hydrolyse enzymatique et enfin la fermentation alcoolique par des levures. Deuxièmement, il y a la conversion thermochimique par gazéification ou par pyrolyse. Quant à la voie Biomass to Liquid ou BtL, il y a une production de gaz de synthèse. On convertit ensuite les syngas en kérosène ou également en gazole. Parmi les biocarburants, on peut citer l’éthanol IG et le biodiesel ou diester. Il y a aussi l’alcool de deuxième génération qui est connu sous le nom d’éthanol 2G. A partir des algues, la troisième génération de l’alcool existe aussi.

Les principales étapes d’élaboration au cours desquelles les échangeurs interviennent.

Ils interviennent dans toutes les phases avec des échangeurs de chaleur adaptés aux contraintes métallurgiques et techniques. En effet, souvent, ces produits sont à la fois encrassants mais également corrosifs. Evidemment, chaque procédé possède un cahier de charge et des spécifications techniques particulières. Imposant alors un dimensionnement mais aussi une conception adaptée en fonction de leurs étapes. On peut citer alors l’extraction et la trituration, la fermentation, la fragmentation, la méthanisation et la distillation. De même que la rectification, la gazéification et enfin l’épuration.

Qu’en est-il du dossier de construction et le suivi qualité des échangeurs ?

Des codes spécifiques pour le domaine existent déjà. Tels les AD MERKBLATT, les ASME ou les CODAP. Ce qui permettra aux constructeurs de faire le choix de la conception, des différentes constructions mais également les qualités des matériaux.

Suivant les pays, il y a aussi des règlements qui y sont applicables. Tels que les TUV, les SELO, les U STAMP et les DESP.

Les industries constructrices doivent avoir ainsi pour chaque échangeur un dossier de construction. Les services qualités doivent ensuite valider chaque étape de fabrication jusqu’à la réception finale en usine. Ce dernier se fait sous le contrôle à la fois des inspecteurs désignés mais aussi des organismes agréés.

Quels sont leurs points positifs en chimie verte et biotechnologie ?

Premièrement, il possède un coefficient d’échange élevé. Le dimensionnement avec des pincements de température est très faibles donc des faibles pertes de charges. Il y aussi une condensation sous vide poussé, un désurchauffe et un sous-refroidissement.

Concernant la conception et la construction, on peut ouvrir et nettoyer facilement l’appareil. Leurs canaux sont à la fois lisses et surtout larges d’où absence de point de contact. L’installation peut être en position verticale ou horizontale et on peut utiliser plusieurs matériaux de construction. Les finitions peuvent suivre les exigences des clients et l’échangeur peut se dilater librement.