close

Economie

SociétéEconomie

Le surendettement dû à un crédit à la consommation

crédit à la consommation

Le surendettement est une réalité qui affecte de plus en plus les ménages français. Il est le résultat de l’accumulation des dettes et des engagements financiers. Les conséquences d’un surendettement dû à un crédit à la consommation peuvent être très graves et leurs effets peuvent s’étendre sur plusieurs années. On peut citer, par exemple, le fait que vous ne pourrez plus accéder à de nouveaux crédits ou services financiers, que votre solvabilité sera mise en doute auprès des organismes bancaires et des institutions financières.

Les conséquences d’un surendettement dû à un crédit à la consommation

Le surendettement est un problème de plus en plus répandu, et le crédit à la consommation en est une des principales causes. Les conséquences d’un surendettement dû au crédit à la consommation peuvent être très graves et peuvent entraîner des conséquences financières et psychologiques. De nombreux sites vous proposent aujourd’hui de faire des demandes de crédits en ligne comme ici pour faire une demande de crédit chez Cofidis.

La réduction du pouvoir d’achat

Lorsque vous êtes endetté, votre pouvoir d’achat est fortement réduit. Vous ne pouvez plus utiliser votre argent pour acheter d’autres biens ou services, vous vous retrouvez donc limités et si l’on peut dire « pris au piège » de votre crédit. Ainsi, il peut être difficile de rembourser le crédit à la consommation dans le temps imparti. Si vous ne le faites pas, vous risquez de vous retrouver dans une situation de surendettement.

La perte du logement

Dans le cas de surendettement, vous pouvez perdre vos bien, votre logement et plus encore… C’est le cas lorsque vous ne payez pas vos loyers en temps voulu. Cela peut survenir dans le cas où vous n’avez pas les moyens de payer vos crédits. Si vous n’avez pas les moyens de régler vos dettes, de payer votre logement, vous risquez de perdre tous vos biens.

Des différents avantages liés à l’obtention d’un prêt

Lorsque vous obtenez un crédit à la consommation, vous pouvez profiter de plusieurs avantages. Tout d’abord, vous pouvez profiter d’un taux d’intérêt qui est plutôt bas. Cela est d’ailleurs le cas de la plupart des crédits, le crédit auto par exemple fait partis des crédits avec les taux d’intérêts les plus bas. Vous pouvez également profiter de la possibilité de pouvoir rembourser votre crédit à la consommation de manière flexible. Vous pouvez ainsi rembourser votre crédit de manière ponctuelle, mais vous pouvez également le faire en tout temps. Cela vous permet notamment d’éviter de payer des intérêts sur votre crédit pendant trop longtemps.

Conclusion

En somme, un surendettement peut être très nuisible à votre santé, financière et personnelle. Si vous êtes à la limite de vos moyens, n’hésitez pas à contacter une association ou un organisme qui pourra vous aider.Il est important de réfléchir à deux fois avant de s’engager dans un crédit à la consommation si l’on est pas sur à 100% de pouvoir le rembourser chaque mois en temps voulu car les conséquences peuvent être très graves pour vous et votre entourage.

Lire la suite ...
SociétéEconomie

Que savoir sur la cotisation dans une association ?

Une association est un groupement de personnes volontaires. Ceux-ci sont généralement réunis autour d’un projet commun ou des activités. Elle ne cherche pas forcément à réaliser des bénéfices. De ce fait, les cotisations constituent la ressource financière essentielle, voire unique de l’association. Encore faut-il bien distinguer ce qui relève et ce qui ne relève pas de la cotisation. Intégrer une telle communauté, c’est donc s’engager à payer cette dernière. Découvrez dans cet article plus de détails sur la cotisation dans une association.

Qui fixe la cotisation ?

Selon la loi de 1901, les associations ont la totale liberté pour fixer le montant de la cotisation. Toutefois, la définition du montant incombe bien évidemment aux instances dirigeantes de la structure. Les statuts peuvent ainsi prévoir que cette initiative revient au bureau ou au conseil d’administration. Par la suite, l’assemblée générale s’attelle à la validation du montant proposé. À cet effet, plusieurs options s’offrent à l’organe compétent pour la détermination du montant de cette cotisation.

  • Un montant fixe ;
  • Un montant proportionnel à certains indices notamment la situation personnelle de l’adhérent, ses revenus, etc. ;
  • Allier les deux systèmes.

Dans tous les cas, elle ne doit pas être trop élevée, ni trop basse. Mais par-dessus tout, le plus important, c’est de bien gérer les cotisations associatives.

Qui paye la cotisation ?

Les cotisations sont payées par les membres de l’association. Elles s’appliquent sans exception à tous. Ce sont les statuts ou le règlement intérieur, qui prévoient l’obligation de verser une cotisation par les membres. Si cela est indiqué dans les statuts et/ou le règlement intérieur, il est également possible de demander le versement d’un droit d’entrée. Toutefois, il ne faut pas les confondre.

Le droit d’entrée et la cotisation sont deux différentes contributions. Une association peut prévoir dans les statuts de demander aux membres l’un ou l’autre. Elle peut aussi demander les deux. Le droit d’adhésion est demandé à tout nouveau membre lors de sa première entrée à l’association. Il est versé une seule fois. Une cotisation, quant à elle, est en général versée périodiquement.

Périodicité et modalités de paiement

La périodicité et les modalités de paiement des cotisations à savoir sa fréquence et son échéance sont définies par les statuts de l’association. À défaut de mention dans les statuts de cette dernière, c’est le règlement intérieur qui les mentionne. Généralement, le versement des cotisations se fait annuellement. Mais ce n’est pas une obligation. Le faire en début d’année n’est pas non plus une obligation. Certaines associations proposent même à ses membres la possibilité de règlement fractionné. Ce qui facilite la tâche à certains. Dans tous les cas, l’association a le droit de délivrer un reçu au membre en guise de paiement de la cotisation. Ceci facilite d’ailleurs les comptabilités.

Mode de paiement

Ici aussi, il convient de se référer aux dispositions statutaires. L’association proposera donc le mode de versement qui facilitera l’organisation. Il peut s’agir de :

  • Un versement en espèces ;
  • Par chèque ;
  • Un virement bancaire.

Parmi toutes ces options, le virement bancaire est l’idéal. Il y a la possibilité de proposer le prélèvement automatique si l’adhérent choisit de payer sa cotisation en plusieurs fois par exemple. Par ailleurs, il existe le paiement en ligne qui est plutôt pratique aussi.

Les dispositions en cas de non-paiement

Ne pas payer les cotisations d’une association quand on est membre serait synonyme de manquement à une obligation de l’association. Ce qui peut provoquer la perte de sa qualité d’adhérent. Cependant, si les statuts n’annoncent pas les conditions d’exclusion d’un membre qui n’aurait pas honoré son engagement, l’association doit lui adresser une lettre recommandée avec accusé de réception. Dans le contenu de la lettre, il sera précisé une demande de paiement dans un délai raisonnable. Dans cette lettre, il devra aussi être mentionné son risque d’exclusion en cas de non-paiement. Malgré cela, s’il ne procède toujours pas au paiement de sa part de cotisation, l’association lui enverra une deuxième lettre avec accusé de réception. Celle-ci, pour l’informer qu’il est exclu de l’association en rappelant les raisons de cette exclusion.

Les possibilités de remboursement

Pour le remboursement de cotisation, il y a deux possibilités. La première, l’association les prévoit dans ses statuts et/ou son règlement intérieur. La deuxième, il n’y a aucune précision donnée sur ce sujet. S’il s’agit du premier cas, un remboursement partiel ou total peut être effectué. Mais ceci, à plusieurs conditions.

  • Si le motif correspond à l’un de ceux qui sont précisés dans les textes de l’association ;
  • Si l’association décide d’effectuer à tous ses membres un remboursement unilatéral ;
  • Si l’association décide d’accepter la demande d’un membre.

Pour les 2 derniers cas, l’association se doit de communiquer son choix à l’ensemble des membres. Ainsi, elle respectera le principe d’égalité et de non-discrimination. Toutefois, elle doit transmettre les modalités de remboursement aux personnes concernées.

Si le remboursement n’est pas prévu dans les textes de l’association, elle n’est pas obligée de rembourser ses adhérents. En effet, la cotisation est réservée à une participation au fonctionnement de l’association. En plus, elle n’est pas directement liée aux activités dont peuvent bénéficier les membres. Le remboursement n’est donc pas une obligation en l’absence de dispositions statutaires.

Par ailleurs, le paiement de cotisations peut donner droit à une réduction d’impôt sur le revenu. Mais pour cela, l’association doit être un organisme d’intérêt général. Elle ne doit offrir aucune contrepartie directe.

En somme, les cotisations dans une association sont régies par des lois bien définies. Elles doivent être respectées pour la bonne marche des activités.

Lire la suite ...
1 2
Page 1 of 2